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by James Doughty Student, French Department Montclair State University New Jersey Spring 2009
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Il y a un an, Nicolas Sarkozy a gagné l’élection présidentielle en France. La France, et une majorité du monde étaient choquées car personne ne pouvait pas croire qu’un pays comme la France aurait choisi un homme comme Nicolas Sarkozy. La France est un pays de la gauche, ou les employées et les gens ont le pouvoir, pas les entreprises et les riches. Donc, il y a pas mal de gens qui a cru que Sarkozy allait perdre l’élection parce qu’il était ‘contre l’intérêt du peuple.’ Cependant, le fait que Sarkozy a gagné l’élection n’est, en réalité, pas choquant car il démontre l’idée que la société française est une culture de masse. Plus important, il démontre que l’élection du Président Sarkozy n’était que le prochain étage dans le progrès de ce fait.
Il faut définir l’idée de la culture de masse avant montrant la relation entre l’élection présidentielle du Sarkozy et la culture de masse. Cependant, il n’est pas facile de la définir. Jean-Pierre Rioux et Jean-François Sirinelli disent dans leur livre La culture de masse en France que « D’une part, cette culture de masse se trouve en copropriété entre plusieurs sciences sociales ou humaines : l’histoire littéraire, la sociologie, les sciences dites de la communication, la jeune « médiologie »… »#. Qu’est-ce que cela veut dire ? Le problème c’est qu’il y a plusieurs de domaines qui contribuent à l’idée de la culture de masse, comme la sociologie et l’histoire littéraire. Chaque domaine a ses propres contributions, mais il est difficile de trouver une définition concrète et universelle. Cependant, en utilisant cette combinaison, on peut voir que la culture de masse est l’ensemble des phénomènes technologiques, culturelles qui contribuent à la massification de la culture qui donne naissance a la culture populaire.# Plus simplement, la culture de masse est une culture où le développement de la technologie et les phénomènes culturelle apportent une massification d’une population.
Mais dans laquelle façon est-ce qui s’est passé ? L’évolution de la culture de masse a commencé à la fin du 19e siècle. Il y a pleins de domaines qui ont influencé cette évolution mais les trois qui ont eu l’influence le plus important étaient : la nationalisation du système éducatif, la musique et le cinéma. Chaque domaine est compris de plusieurs aspects importants, mais ces thèmes généraux ont créé la France de notre jour.
Le système éducatif d’un pays industrialisé est tellement important pour la massification d’une population. Si une population a la capacité de lire et d’écrire, leur individualité disparait. Les idées individuelles sont remplacées par ce que l’état, ou un auteur leurs donne. Donc, la massification du peuple s’augment parce que chaque citoyen suit les ordres d’un auteur ou de l’état plutôt de leur propre esprit. Avec cette nationalisation, les auteurs ont la capacité d’inspirer les gens à manifester contre le gouvernement, une loi ou n’importe quelle raison. Semblablement, il y a un parallèle entre le développement du system éducatif national et la presse comme méthode de massification. Les auteurs disent que «Sans elle (la Convention qui a rendu l’alphabétisation obligatoire), ni l’envol de la presse quotidienne après 1863 ni l’essor prodigieux des collections de roman à bon marché après 1904 n’auraient été possible.# » Cela veut dire qu’à cause de la massification du système éducatif, la presse quotidienne a aussi développé car les gens pouvaient et voulaient lire.
Le deuxième domaine qu’a ajouté à la massification de la France était l’évolution de la musique. Pendant le 19e siècle et les siècles avant, la musique était pour les masses, cependant, elle n’était pas un aspect de la culture de masse. Elle était pour les plus riches d’une société. Cependant, tout cela a changé avec l’evolution de l’invention de Thomas Edison et le phonographe. Son invention a évolué à la création de la radio, qui était une vraie force de la culture de masse. La radio permettait à arriver la musique à chaque maison individuelle. Elle est devenue une source du loisir pour chaque personne et pendants les premières décennies du 20e siècle, la popularité de la radio a augmenté. Par exemple, selon les chiffres de Dr. Daniel Mengara, il y avait 500,000 radios en France dans 1929, mais dans 1968, 92,3% des Français ont un poste de radio.# Donc, avec le développement de la radio, les disques sont aussi arrivés. C’est avec les disques et la popularité de la radio qu’on peut voir le phénomène de massification.
La musique est devenue une source de la massification car les chanteurs pouvaient vendre leur musique aux gens. Donc, encore on voit l’idée de masse. Oui, les gens pouvaient l’écouter chez eux, mais chacun citoyen écoutait à la même chose, cela veut dire : la musique populaire. Le phénomène du concert aussi a joué un rôle en la massification. Les concerts étaient pour les masses, et plus important, pour une mentalité de masse.
Le troisième domaine important qui a eu une profonde influence sur la culture de masse était le cinéma. Le cinéma était créé pour les masses. Les premières salles de cinéma étaient pour les grandes nombreux de personnes, et chacune personne ont vu le même film. Encore l’idée de masse se présente car le réalisateur pouvait présenter un message, et les gens qui le regardaient, n’ont pas le choix de l’ignorer. En particulier, le cinéma est devenu important âpres la seconde guerre mondiale car les gens avaient besoin d’une libération à laquelle ils y offraient.
Les masses voulaient voir plus de films, et donc l’industrie cinégraphique leurs a donné plus de choix et plus de horaires à propos des films. Cependant, cette idée avait une conséquence négative pour les grandes salles de cinéma. « Les salles traditionnelles, celles des petits exploitants artisanaux, sont à terme condamnées (3 500 ferment en trente ans)… ». Voila, on voit un paradoxe : les grandes salles ont fermé pour les besoins des individus, néanmoins, la massification a augmenté car l’industrie soi-même est devenue plus grande et plus forte.
En relation avec les films, la création de la télévision a aussi contribué à la massification des Français. Dans 1967 plus qu’une moitié des français avaient une télévision, mais dans les années 70, la France est devenue une culture de télé.# La télé était une invention de massification car encore les gens étaient montrés des images dont les chaines de télé ou même le gouvernement voulait qu’ils aient vu. Encore, c’est le paradoxe : les produits créent pour l’individu qui contribue à la massification.
Mais pour laquelle raison sont le cinéma (et la télé), la radio et la nationalisation du système éducatif liés à l’élection présidentielle de Nicolas Sarkozy comme exemple de la culture de masse en France. C’est vraiment simple pour trois raisons : son capacité de comprendre les jeunes, le phénomène de la « superstar » et son idéologie.
Nicolas Sarkozy n’est pas le même type de président comme Chirac ou des autres présidents avant lui. Il est né après la seconde guerre mondiale, et il est un enfant des sixties, une génération qui avaient toutes les modes de la massification comme : la télé, la radio, les films, la presse, etc. Donc, il devient d’une mentalité où il comprend bien toutes celles inventions sans problème. Il ne peut pas rappeler une époque où ces inventions n’existaient pas, et donc pour cette raison, les jeunes lui comprennent, et Sarko comprends biens les jeunes.
Celles inventions sont la fondation de l’idée de « superstar. » Chaque invention a bien contribué à ce phénomène, par exemple « La télévision permet, pendant une soirée, de vivre par procuration des moments d’extrême intensité. Le succès de certaines vedettes de la musique ou de la chanson, du cinéma ou du sport est révélateur.# » Cela veut dire que ces inventions (la radio, la télé, le cinéma etc.) ont le pouvoir de créer des superstars, et Sarkozy a bien utilisé cette idée dans sa campagne. Il n’avait pas de peur d’utiliser la radio, l’Internet et toutes les choses de massification pour l’aider gagner l’élection présidentielle.
Le troisième aspect de la culture de masse est son idéologie. Son désir de voir l’abandonne des idées conservatrices aux idées plus modernes bien parlées aux gens. Il s’est lancé leurs besoins du loisir. Cette idée de loisir a commencé après la seconde guerre mondiale. Par exemple, a propos de l’importance du loisir après la guerre les auteurs disent que « Elle (la société industrielle) a également été marquée par le souci de mesurer la durée de chaque activité, d’en épargner chaque instant, éventuellement de prévoir des marges, subdiviser chaque séquence, et par conséquent optimiser l’usage du temps économisé.# » Il savait que les Français voulaient plus de loisir dans leurs vies privées. Selon lui, les français ne puissent que l’avoir s’ils deviennent modernisés.
Le fait que les Français et le monde étaient choqués par l’élection présidentielle de Sarkozy montre bien qu’ils ne voient pas l’importance de la culture de mass dans ce pays. Les inventions comme la télévision, la radio, l’Internet etc. ont crée deux choses de paradoxe : l’augmentation du loisir individu et la massification des gens. Sarkozy a utilisé ce paradoxe pour gagner l’élection. Il savait que s’il pouvait se lancer dans ce paradoxe il convaincrait les gens et gagnerait l’élection présidentielle. Cette méthode n’est pas unique car l’utilisation du mass-média (la télé, la radio, la presse etc.) avait été utilisée depuis l’invention de l’imprimeur. La seule chose qui change est la technologie qui présente l’information.
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1 Rioux, Jean-Pierre, et Sirinelli, Jean-Francois. La culture de masse en France. Paris : Hachette Littérature, 2002. p. 8.
2 Selon les notes de Dr. Daniel Mengara le 3 decembre 2008.
3 Rioux, Jean-Pierre, et Sirinelli, Jean-Francois. La culture de masse en France. Paris : Hachette Littérature, 2002. p. 76.
4 Les notes ont pris le 10 decembre 2008 en cours.
5 Les chiffres ont pris des notes de Dr. Daniel Mengara le 10 décembre 2008.
6 Rioux, Jean-Pierre, et Sirinelli, Jean-Francois. La culture de masse en France. Paris : Hachette Littérature, 2002. p. 76.
7 Rioux, Jean-Pierre, et Sirinelli, Jean-Francois. La culture de masse en France. Paris : Hachette Littérature, 2002. p.360-361.
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