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Surrealist Essay

by
James Doughty
Student, French Department
Montclair State University
New Jersey

Dans chaque mouvement artistique, il y a toujours la question de si ce mouvement n’existe plus. Le surréalisme n’est pas une exception de cette question. Ayant été crée dans les premiers décennies du 20e siècle, le surréalisme a bien vu plusieurs d’évolutions de ses œuvres. Presque un siècle après sa naissance, l’existence du surréalisme est en question. Est-ce qu’il y a des exemples contemporains de ce mouvement ? Si oui, est-ce que ça veut dire que le surréalisme d’aujourd’hui représente le surréalisme des années 30 ? Si non, est-ce que ça veut dire que le surréalisme est mort ou plutôt, qu’il a changé ?

Il y a deux films contemporain que bien montrent que le surréalisme existe encore, Alice par Švankmajer et Hedwig and the Angry Inch par Mitchell. Ceux deux films sont des meilleurs exemples du surréalisme car ils démontrent les qualités que le surréalisme des années 30 avait bien installé. Cependant, les deux films ne sont pas le même type du surréalisme. Chaque film utilise le surréalisme en général, mais chaque réalisateur concentrent sur des aspects différent.

Alice est un film de Jan Švankmajer, un artiste surréaliste qui est né à Prague dans 1934. On peut voir qu’il a bien influencé par le surréalisme original. Il a étudié les idées originales du surréalisme : l’importance des rêves, des enfants, de l’imagination, de Freud, du sexe etc. Dans chaque de ses œuvres, il porte ces aspects. Alice n’est pas une exception.

Le film est basé sur le roman de Lews Carrol, Alice aux pays des merveilles. Cependant, ce film n’est pas comme l’histoire enfantine de Disney. Son film est plus noir, plus macabre et plus perturbant que le film de Disney. Néanmoins, Alice est un exemple merveilleux du surréalisme.

Le surréalisme concentre sur les rêves. Dans le roman d’Alice, dans n’importe quelle version, il raconte toujours une histoire d’un rêve. La différence reste dans le type de rêve que chaque auteur, réalisateur n’importe qui, veulent montrer. Dans ce cas, le realistateur a decidee d’utiliser un rêve macabre et enfantin. Dans chaque scène où Alice rencontre les animaux, ils sont constamment un mélange d’un animal et de quelque’ chose funèbre, pas réelle. La seule exception est le lapin blanc, mais quand même, le lapin blanc n’est pas un vrai lapin. Il est mort, et en fait, il est un lapin empaillé. C’est image-la, d’un lapin déjà mort, qui reviens à la vie n’est pas seulement surréaliste, mais c’est aussi troublant.

À propos du lapin blanc, le fait qu’il mange ses propres intestins est aussi bizarre. Ses intestins ne sont pas vraiment intestins, plutôt, ils sont de sciure de bois. De ce fait c’est pour cette raison pour laquelle il est bizarre. Une autre raison pour laquelle le lapin blanc est bizarre c’est à cause des sons qu’il produisait quand il mange. Ceux sons ne sont pas normales pour n’importe qui, les êtres-humains ou les animaux, donc par écouter les sons du lapin, le spectateur est encore rappelé de l’image surréel à laquelle il regarde : un animal mort qui mange ses propres intestins. Le film Alice est surréaliste puisque quelqu’un qui n’ait étudié ni le surréalisme ni le dadaïsme encore sait qu’il regarde une scène surréaliste. Cependant, le film d’Hedwig and the Angry Inch par John Cameron Mitchell n’a pas la même facilitée de le classifier.

Quand on examine la vie de Švankmajer, on peut voir les liens dont il partage avec le surréalisme. La même chose n’existe pas pour Mitchell. Il n’y a pas d’un lien fort entre le surréalisme classique et Mitchell. Néanmoins, le surréalisme existe dans son film Hedwig. Les premiers exemples de ce fait sont avec les dessins animés qu’il montre. Tous les dessins animés sont enfantins car lorsque Mitchell les dessine, il n’utilise que les stickman, quelque ‘chose qu’un enfant utilisait. Aussi comme un dessin animé d’un enfant, les expressions de ces dessins sont exagérées, avec les tètes, les yeux et les bouches grandes.

Un autre aspect important pour les surréalistes est le thème de l’androgyne, et Hedwig est un exemple exemplaire de ce thème. Le mythe de l’androgyne est important aux surréalistes parce qu’il démontre l’idée de change et d’un troisième sexe. Dans ce film, Hedwig chante une chanson qui s’appelle « L’origine d’amour. » Cette chanson raconte l’histoire d’humanité et le fait qu’on était parfait il y a des siècles. Pendant cette époque il y a eu trois sexes : les enfants du soleil, de la lune et de la terre. Chacun de ces enfants ont eu une autre personne attachée au dos. Les enfants du soleil étaient deux hommes(les homosexuels), les enfants de la lune étaient deux femmes(les lesbiennes) et les enfants de la terre étaient un homme et une femme (les hétérosexuelles). Hedwig raconte cette histoire car il sent qu’il y a quelqu’un autre qui puisse le compléter.

L’idée de la transformation est fondamentale aussi aux surréalistes, et il y a un rapport entre la transformation et le mythe d’androgyne. Pendant ce film, il y a pleins d’exemples de transformation. L’exemple le plus clair est le fait qu’Hedwig ait été un homme qui est devenue une femme. Comme le mythe d’androgyne, la transformation est centrale aux surréalistes parce qu’un rêve changeait toujours. On ne savait jamais quand ou si le rêve allait changer ; il changeait sans hésitation ou avertissement. Donc, les surréalistes cherchent la transformation dans chacun domaine de la vie. Il y a des autres exemples de transformation dans Hedwig. Par exemple, la transformation de la pauvreté au succès, de la vie à la mort, et même avec le mythe d’androgyne : de deux personnes a une seule personne.

Bien que les deux films soient différents, ils partagent encore un aspect tellement surréaliste entre les deux. Les deux films ont pas mal d’exemples de Freud et la bouche. Freud était important aux surréalistes parce que pour la première fois un ‘scientifique’ a mis la question de l’importance des rêves et de la sexualité aux esprits d’homme. Donc, d’habitude, on peut trouver des exemples de Freud et ses pensées dans nombreux d’œuvres surréalistes, et Alice et Hedwig ne sont pas d’exceptions.

Selon Freud, il y a des phases psychique-sexuelle que chaque personne subit. Une de celles phases s’appelle la phase orale. D’habitude, pendant cette phase, les enfants mettent presque tous à la bouche. Alors, pour les enfants, la bouche est le premier organe sensible d’information. Les enfants laissent cette phase quand ils ont presque deux ans, cependant, il ya des gens qui n’y laissent jamais, et donc, ils ont une condition psychique appelée une fixation orale.

Dans ceux deux films, la psychologie freudienne est bien présentée. Par exemple, dans Alice chaque fois qu’elle parle, la caméra se concentrait sur la bouche d’Alice, pas une autre partie de son corps. Semblablement, chaque fois qu’elle trouve un nouveau truc : l’encre ou les biscuits, elle les mange, sans hésitation. Donc, comme un enfant, elle veut connaitre tous les nouveaux sens par sa bouche.

Il y a aussi une fascination avec la bouche dans Hedwig, mais il n’y pas d’une connotation sexuelle avec cette fascination. Il y a plusieurs de scènes dans Hedwig où la camera mis au point des bouches des personnages. Les bouches dans Hedwig peuvent être une référence au dadaïsme car les dadaïstes jouaient constamment avec des différents partis du corps. Malgré tout des raisons de Mitchell, les étudiants de dadaïsme et de surréalisme connaissent des liens.

La chose importante de se souvenir c’est que bien qu’il y ait des films différents, ils sont encore des exemples de surréalisme. Donc, le surréalisme existe encore aujourd’hui, mais il peut être montré dans plusieurs de manières différentes. Un artiste peut suivre les exemples de Švankmajer qui a choisi les méthodes classiques de surréalisme. Ou, il peut créer quelque’ chose indépendant du surréalisme classique comme Mitchell l’a fait. Avec les deux, le surréalisme encore existe dans une manière paradoxale car il existe dans sa manière pure, mais aussi dans une manière unique. Il existe comme le surréalisme devrait exister : comme un rêve, car il transforme toujours.